Bonjour mes amies, et amis 

Très encore, l'amitié au fil du temps, et des saisons, chaque moment qui passe augmente son intensité, à chaque saison, se découvre toute sa beauté, chaque moment qui passe augmente son intensité, à chaque saison, se découvre toute sa beauté, chaque bonheur apportant tant d'émotions, la vérité du cœur en fait sa sincérité.

Au printemps tel le réveil de la nature,
l'amitié naissante enlève ses voilures,
renaissance de la vie, découverte des sens
laissant dans la nuit les traces de souffrances, louanges à la vie, à toutes les naissances, c'est le réveil après un long hiver endormi, une mise en confiance dont tous les jardins sont fleuris.

Vient ensuite l'été avec son flot de couleurs,
apportant du soleil toute la chaleur,
met en exergue de la vie toute la douceur,
douceur du temps ralenti au rythme des vacances, douceur de la lumière des étoiles dans la nuit, toute la tendresse qui persiste dans l'existence, beauté de toute une complicité qui se traduit.

À l'automne, morne saison, la nature se couvre d'or, souvenirs de jeux d'enfants, véritables trésors, malgré le brouillard et la pluie, tout devient tout devient mystère.

Restent dans les longues nuits les rêves austères, échanges de mots qui prévoient la prochaine saison, bien au chaud dans un rassurant cocon, puis vient l'hiver, fin de l'année, et pourtant la vie n'est pas terminée, des espoirs, cette saison est comme une trêve, les liens d'une sincère amitié, à l'image des paysages enneigés,
d'un blanc pur, immaculés, une amie devient comme la plage, où l'on échoue après un naufrage.

Respectueusement.Zéphy

Eve

Elle ressemble à un ange, tellement elle est belle,
Quelle sensation étrange, de me voir face à elle,
Son petit nez mutin, chaque jour m'émoustille,
Et ses longs cheveux blonds, là font bien jolie femme.

Deux yeux pleins de lumière, illuminent son regard,
Tantôt bleus, tantôt verts, ou marrons, j'y vois naître l'espoir,
Elle à un charme fou, telle une aura magique,
Et je lis ses mots doux, que je mets en musique.

Elle est si fraîche, comme une fleur du printemps,
Si douce, et si mignonne, c'en est déroutant,
J'aimerais la séduire, et l'aimer à jamais,
Mais comment la cueillir, sans jamais l'abîmer.


Rien qu'une heure sans la voir, je me désespère,
Mais je garde l'espoir, guidé par sa lumière,
Le temps est éternel, quand je la sais partir,
Et tout au long des jours, je vis comme un martyr.

Où es-tu, belle princesse, où est donc ton palais,
Dis-moi, où est ton monde, et de ce pas j'y vais,
Quel est donc ce pays, où se trouve ce ciel,
Où j'offrirai mon cœur, à ma douce sœur de cœur.
Ton ami Adam qui te respecte d'une amitié inégalée.

Respectueusement.Zéphy

Larme

Des lignes sur vos joues, de l'eau s'est écoulée,
Je veux savoir pourquoi vos beaux yeux ont pleurés,
Car vos larmes, amie, sont les plus beaux diamants,
Je me ferai une ombre, pour que les emportant.

La lumière revive, pareille à la fleur bleue,
Alors nous marcherons, vos doux yeux dans mes yeux,
Ce troupeau de nuages, le baiser de la pluie,
Le froid naissant hélas, en seront nos amis.

Ce nuage si noir, vous y croyez vraiment,
Là-haut, les oiseaux volent dans ce doux firmament,
Je suis souvent trompé par les voix du dehors,
Le plus noir des nuages aurait sa frange d'or.

Cette douce lumière que vous portez en main,
Lumière d'or que nul autre ne saurait voir,
Le soleil vous la prend, il reviendra demain,
Je vous exposerai mes harmonies du soir.

Respectueusement.Zéphy